Je me souviens d’avoir voyagé avec Francis Lax dans le métro.
Il avait l’air tellement triste, dans son imperméable de Columbo.
J’avais envie de lui dire tout le bonheur qu’il avait pu me donner, mais je n’ai pas pu décrocher un mot.

A la manière des fragments du même nom de Georges Pérec
Je me souviens d’avoir voyagé avec Francis Lax dans le métro.
Il avait l’air tellement triste, dans son imperméable de Columbo.
J’avais envie de lui dire tout le bonheur qu’il avait pu me donner, mais je n’ai pas pu décrocher un mot.