Je me souviens de la canicule de 2003, à Paris. Mes ordinateurs sautaient les uns après les autres, j’ai perdu la backup de la backup de la backup, des photos à jamais disparues, dans le tourbillon du passage au numérique.
A la manière des fragments du même nom de Georges Pérec
Je me souviens de la canicule de 2003, à Paris. Mes ordinateurs sautaient les uns après les autres, j’ai perdu la backup de la backup de la backup, des photos à jamais disparues, dans le tourbillon du passage au numérique.