Je me souviens de l’auto-collant « Nucléaire, non merci ! » avec un soleil souriant, sur la route des vacances. Mes parents jugeaient ces militants complètement irréalistes ou des babas-cool attardés. C’était avant Tchernobyl.
A la manière des fragments du même nom de Georges Pérec
Je me souviens de l’auto-collant « Nucléaire, non merci ! » avec un soleil souriant, sur la route des vacances. Mes parents jugeaient ces militants complètement irréalistes ou des babas-cool attardés. C’était avant Tchernobyl.