Je me souviens de ma mère qui taillait son crayon à l’aulne d’un nouveau mots-croisés.
Je me souviens de mon incompréhension à l’observer assise des heures durant, sa gomme parfois agitée au bout de son crayon.
A la manière des fragments du même nom de Georges Pérec
Je me souviens de ma mère qui taillait son crayon à l’aulne d’un nouveau mots-croisés.
Je me souviens de mon incompréhension à l’observer assise des heures durant, sa gomme parfois agitée au bout de son crayon.