Je me souviens des fils de téléphone dans les films américains, ils étaient toujours démesurément grands, alors qu’en France, on restait accrochés au guéridon du hall d’entrée.
A la manière des fragments du même nom de Georges Pérec
Je me souviens des fils de téléphone dans les films américains, ils étaient toujours démesurément grands, alors qu’en France, on restait accrochés au guéridon du hall d’entrée.